Lors des repas du dimanche chez les beaux parents, on (le beau frère surtout) me réclame régulièrement d’organiser un jeu : le plus souvent un Heroquest (facile à jouer et univers facile à assimiler), avec aussi une fois un Doom boardgame et une autre fois une initiation à la peinture.
Je tenais avec ma peinture de la veille, de tout ce qu’il fallait pour une partie relax et délirante avec une nouveauté. C’était parti pour un Golgo Island ! La règle basée sur Warengine est simple et vraiment facile d’accès.
Chaque joueur (moi, ma chérie, sa petite soeur et le copain de la grande soeur) choisissait deux héros : Elle optait pour Brutella et son sbire Pervo le gnome, la seconde pour le Diaper advenger épaulé de Thor Pasadenas, lutteur de renom, lui du maniac Nerd armé de sa tronconeuse et de Renato. Pour finir je prenais les deux chauves du jeu : Walter Kotchev et Gunther !
Chaque équipe débutait dans un coin de l’espace de jeu (90 cm sur 90 cm) et le scénario était “the quest” : c’est très simple : des pions sont éparpillés sur la table et l’objectif est de découvrir celui cachant l’objectif (ici des plans ultra secret d’un endroit trop top et trop trop stratégique). A chaque pion retourné quand un héro l’atteint une carte de jeu est retournée et peut soit correspondre à l’objectif ou à un évènement. Pour cette partie d’initiation les pions autres que l’objectif permettent au héro le découvrant d’activer des monstres dissiminés sur le terrain et de les faire attaquer les adversaires. En effet des monstres (zombies et zorgls) sont présents sur la table avec un rapport de 2 pour 1 héro.
Arf j’explique à moitié c’est nul. Je ne me sens pas d’expliquer la règle ce soir (il est tard) mais je compte bien m’y atteler avec des photos prises plus au cours de la partie. Voici néanmoins quelques clichés.
Walter accueille l’assaut des Zorgls avec son SMG ! Ho le beau pion en forme de bouchon de Quezac 

Thor Pasadenas fait usage de la lucha libre sur des zombies qui font agnagneuh la cébé !

Le vengeur en couche culotte arrive à la rescousse mais se rend compte trop tard que son pistolet pulvérisant un liquide jaune fait maison n’a que peu d’effet sur l’équilibre mental des zombies décérébrés. Agueu Agueu !

Brutella botte le cul à un zombie (made in Zombiesmith celui la)

Quelques vues d’ensemble


Admiré le beau tapis de jeu achété 2 euros chez Ikea (je compte utiliser des bombes de grafiti, cad les moins chères, pour la “moucheter”).