Les pots de peintures, tout un sujet. Tous ont leurs qualités et leurs défauts. LE défaut à mon humble avis des saletés de pots Prince August/Vallejo c’est leur embout pipette supposé nous aider à bien doser la peinture. Mais bien sur … Le plus souvent tout ce qu’on y gagne c’est :

1. que ça se bouche un peu, juste ce qu’il faut pour vous faire presser un peu trop fort le pot pour en extraire le précieux contenu et SPLOTCH ! vous videz le quart du pot sur votre palette.
2. ça sort sans discontinuer après un bon remuage obligatoire, même si vous ouvrez le pot le lendemain.

Avec ces deux phénomènes ultra chiants, une fois sur trois j’en dépose beaucoup trop sur la palette, bonjour le gâchis. C’est ce qu’il m’est arrivé cet après midi avec mon pot de “chair moyen” alors que je devais juste corriger un petit dérapage sur une figurine en cours.  Trois litres de chair moyen (j’éxagère un peu) sur ma palette et aucune figurine de prète à portée de main pour utiliser ce petit surplus.

J’ai donc effectué une séance de sous couche en urgence, de mise en place sur bouchon à la patafix et application de couleur chair sur ce tas de plomb.

“Tous sur vos bouchons à mon signal !!!”

Splitch spotch ! quelques coups de pinceaux à la va vite plus tard :

La palette :

Vous avez lu jusque ici ? Je sais ce que vous vous dites, “passionnant”, ou c’est le mot !

Au moins ça m’a motivé à sous coucher un stock considérable de figurine.

Ça ne m’empêche pas d’avoir plein de pots de cette marque, dont le nuancier est imbattable surtout pour l’historique et dont la qualité de la peinture reste indéniable.

Cet article a été publié le Dimanche 30 mars 2008 à 5:50 et est classé dans peinture. Vous pouvez en suivre les commentaires par le biais du flux RSS 2.0. Vous pouvez aller directement à la fin et laisser un commentaire. Les pings ne sont pas autorisés.